Afin de préparer le coulage de la chape, j’ai enlevé le faux parquet : celui-ci était collé sur des grandes planches d’agglo, elles-mêmes vissées dans l’ancien parquet.
A l’aide d’un pied de biche, d’un burin et d’une masse, j’ai réussi à tout arraché. On gagne encore en poids et en hauteur.
Parallèlement à cela, nous avons fini de casser le plafond : il reste quelques morceaux de bois, les ferrailles des briques et toute l’électricité, mais on y voit déjà plus clair.
Les cloisons des toilettes et du cagibi ne sont plus là, comme nous l’a conseillé Marcel, le père de Maud : elles seront refaites en placo.
Ne voulant pas refaire tous les murs en placo, Maud a essayé de décaper celui-ci : on aperçoit la courbe du côté de l’escalier.
Dans le fond le faux plafond du palier : j’envisage de faire sauter la marche qui est sous la fenêtre.
Entre les poutres on distingue les planchers des chambres : il n’y avait aucune isolation hormis les 10 cm de poussière.
Aux abords du carrelage, le parquet est maintenant à peu près à la même hauteur.
Le palier, qui reste encore un gros point d’intérogation : lorsqu’il y aura la chape cela risque de faire une marche un peu bizarre de 5 ou 10cm, ce qui risque de faire un peu casse-gueulle…
… En plus il y a déjà une contre-marche sur la dernière, donc pas facile d’imaginer le rendu final : espérons que l’entrepreneur nous éclaire un peu.
Après avoir vérifier avec le niveau lazer, les toilettes sont le point le plus haut de l’étage : on a essayé d’enlever le maximum de carrelage.
Le mur de la cuisine que j’ai bien décapé : de loin on dirait que c’est joli et on peut même se demander pourquoi le recouvrir, mais en fait il n’y a pas que de belles pierres…
… Il y a des morceaux de briques cassées, du béton, des morceaux de fer et de bois, bref trop de travail pour réellement le rendre propre.
D’après nos estimations après les calculs au laser, il y a de fortes chances que la chape fasse disparaître la première marche : cela fait quand même 15 cm.